Réduire les caractèresAugmenter les caractèresImprimer

Résultats 1 à 51 sur 51 :   

51 résultats - Nombre de résultats par page :

Nom Date Catégorie Typologie documentaire Description  
Apollinaire Guillaume1880-1918Ecrivain/poèteDocuments d'archivesNé le 26 août 1880 à Rome, Wilhelm-Apollinaris de Kostrowitzky demande sa naturalisation pour s'engager, le 6 décembre 1914, au 38e régiment d'artillerie de campagne. Muté sur le front en 1915, il combat en Champagne où il devient maréchal-des-logis.
Naturalisé français sous le nom de Guillaume Apollinaire en mars 1916, il passe dans l'infanterie comme sous-lieutenant au 96e régiment d'infanterie. Le 17 mars 1916, à La Ville-aux-Bois, dans l'Aisne, il est grièvement blessé à la tête par un éclat d'obus et subit deux trépanations avant d'être réformé.
Le 9 novembre 1918, le poète, dont l'organisme avait été affaibli par sa blessure de guerre, meurt de la grippe espagnole. Son corps repose à Paris, dans le cimetière du Père Lachaise.
Visualiser(5 images)
Apollinaire Guillaume1880-1918Ecrivain/poètephotographiesNé le 26 août 1880 à Rome, Wilhelm-Apollinaris de Kostrowitzky demande sa naturalisation pour s'engager, le 6 décembre 1914, au 38e régiment d'artillerie de campagne. Muté sur le front en 1915, il combat en Champagne où il devient maréchal-des-logis.
Naturalisé français sous le nom de Guillaume Apollinaire en mars 1916, il passe dans l'infanterie comme sous-lieutenant au 96e régiment d'infanterie.
Le 17 mars 1916, à La Ville-aux-Bois, dans l'Aisne, il est grièvement blessé à la tête par un éclat d'obus et subit deux trépanations avant d'être réformé.
Le 9 novembre 1918, le poète, dont l'organisme avait été affaibli par sa blessure de guerre, meurt de la grippe espagnole. Son corps repose à Paris, dans le cimetière du Père Lachaise.
Visualiser(2 images)
Bastié Maryse (née Bombec)1898-1952PiloteDocuments d'archivesPremière femme promue commandeur de la Légion d’honneur à titre militaire en 1947.
En 1918, Maryse Bombec épouse le lieutenant aviateur Louis Bastié et attrape le virus de l’aviation. En 1925, elle obtient son brevet de pilote et cumule les records.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle s’engage dans la Croix-Rouge et entre dans les services de renseignements alliés. En 1944, elle s’engage comme pilote militaire.
Le 6 juillet 1952, elle est victime d’un accident aérien lors de l’essai d’un avion prototype.
Visualiser(14 images)
Bastié Maryse (née Bombec)1898-1952PilotephotographiesPremière femme promue commandeur de la Légion d’honneur à titre militaire en 1947.
En 1918, Maryse Bombec épouse le lieutenant aviateur Louis Bastié et attrape le virus de l’aviation. En 1925, elle obtient son brevet de pilote et cumule les records.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle s’engage dans la Croix-Rouge et entre dans les services de renseignements alliés. En 1944, elle s’engage comme pilote militaire.
Le 6 juillet 1952, elle est victime d’un accident aérien lors de l’essai d’un avion prototype.
Visualiser(4 images)
Bossut Louis-Marie1873-1917OfficierDocuments d'archivesOfficier de cavalerie, excellent cavalier, Louis-Marie Bossut se porte donc volontaire en 1916, pour "l'artillerie d'assaut" en cours de création. Il disait « Le char, c’est un cheval avec lequel on charge »
Le 16 avril 1917, premier jour de la grande offensive du Chemin des Dames lancée par le nouveau commandant en chef Robert Nivelle, est le baptême du feu de cette artillerie spéciale, massivement engagée.
Louis Bossut, avec ses 82 chars Schneider, est placé à la tête d’un Groupement avec 5 groupes d’assaut. Mais l'attaque est un échec, avec de nombreuses pertes chez les équipages de chars, dont le commandant Bossut, retrouvé mort sur le champ de bataille par son frère.
Visualiser(16 images)
De Seynes Maurice1914-1944PiloteDocuments d'archivesNé en 1914, Maurice de Seynes s’engage volontairement en 1936 dans l’armée de l’Air. Il obtient une citation à l’ordre de l’armée en 1940. À la dissolution de son unité en 1942, il décide de rejoindre les forces aériennes françaises libres (FAFL). Il est affecté au groupe de chasse Normandie et rejoint l’URSS.
Le 15 juillet 1944, lors d’un transfert de son unité pour se rapprocher du front, Maurice De Seynes décolle avec son mécanicien russe le sergent Bielozoube. Suite à une avarie, aveuglé et intoxiqué, il cherche à atterrir. Malgré l’ordre de sauter en parachute, Maurice De Seynes préfère continuer ses tentatives d’atterrissage car son mécanicien n’en n’est pas équipé.
Son sacrifice volontaire est un exemple de la fraternité d’armes unissant les aviateurs russes et français, largement honoré en Russie où plusieurs écoles portent son nom.
Visualiser(14 images)
De Seynes Maurice1914-1944PilotephotographiesNé en 1914, Maurice de Seynes s’engage volontairement en 1936 dans l’armée de l’Air. Il obtient une citation à l’ordre de l’armée en 1940. À la dissolution de son unité en 1942, il décide de rejoindre les forces aériennes françaises libres (FAFL). Il est affecté au groupe de chasse Normandie et rejoint l’URSS.
Le 15 juillet 1944, lors d’un transfert de son unité pour se rapprocher du front, Maurice De Seynes décolle avec son mécanicien russe le sergent Bielozoube. Suite à une avarie, aveuglé et intoxiqué, il cherche à atterrir. Malgré l’ordre de sauter en parachute, Maurice De Seynes préfère continuer ses tentatives d’atterrissage car son mécanicien n’en n’est pas équipé.
Son sacrifice volontaire est un exemple de la fraternité d’armes unissant les aviateurs russes et français, largement honoré en Russie où plusieurs écoles portent son nom.
Visualiser(2 images)
Dreyfus Alfred1849-1934OfficierDocuments d'archivesIssu d’une famille alsacienne d’origine juive ayant opté pour la nationalité française en 1872, Alfred Dreyfus intègre en 1878 l’école Polytechnique afin de poursuivre une carrière militaire. Capitaine stagiaire à l’état-major de l’armée en 1894, il est arrêté et inculpé pour haute trahison à cause d’une ressemblance d’écriture, et devient malgré lui l’objet d’une des plus grandes affaires politico-judiciaire de la IIIe République.
Condamné en 1894 à la dégradation et à la déportation perpétuelle au bagne de Cayenne, sa peine est commuée en 1899 lors de son second procès à 10 ans d’emprisonnement, avant qu’il ne reçoive finalement une grâce du présidant Emile Loubet. Il n’est finalement réhabilité qu’en 1906, et réintégré dans l’armée au grade de chef d’escadron tout en étant fait chevalier de la Légion d’Honneur.
Visualiser(16 images)
Dreyfus Alfred1849-1935OfficierDocuments d'archivesIssu d’une famille alsacienne d’origine juive ayant opté pour la nationalité française en 1872, Alfred Dreyfus intègre en 1878 l’école Polytechnique afin de poursuivre une carrière militaire. Capitaine stagiaire à l’état-major de l’armée en 1894, il est arrêté et inculpé pour haute trahison à cause d’une ressemblance d’écriture, et devient malgré lui l’objet d’une des plus grandes affaires politico-judiciaire de la IIIe République.
Condamné en 1894 à la dégradation et à la déportation perpétuelle au bagne de Cayenne, sa peine est commuée en 1899 lors de son second procès à 10 ans d’emprisonnement, avant qu’il ne reçoive finalement une grâce du présidant Emile Loubet. Il n’est finalement réhabilité qu’en 1906, et réintégré dans l’armée au grade de chef d’escadron tout en étant fait chevalier de la Légion d’Honneur.
Visualiser(38 images)
Dreyfus Alfred1849-1935OfficierphotographiesIssu d’une famille alsacienne d’origine juive ayant opté pour la nationalité française en 1872, Alfred Dreyfus intègre en 1878 l’école Polytechnique afin de poursuivre une carrière militaire. Capitaine stagiaire à l’état-major de l’armée en 1894, il est arrêté et inculpé pour haute trahison à cause d’une ressemblance d’écriture, et devient malgré lui l’objet d’une des plus grandes affaires politico-judiciaire de la IIIe République.
Condamné en 1894 à la dégradation et à la déportation perpétuelle au bagne de Cayenne, sa peine est commuée en 1899 lors de son second procès à 10 ans d’emprisonnement, avant qu’il ne reçoive finalement une grâce du présidant Emile Loubet. Il n’est finalement réhabilité qu’en 1906, et réintégré dans l’armée au grade de chef d’escadron tout en étant fait chevalier de la Légion d’Honneur.
Visualiser(1 image)
Duhamel Georges1884-1966Ecrivain/poèteDocuments d'archivesEngagé volontaire pour le service de santé militaire dès les premiers jours de la guerre, Georges Duhamel avait auparavant bénéficié d'une réforme médicale en raison de sa vue. Il va pendant quatre ans occuper les fonctions de médecin aide-major dans des autochirs, dans des situations souvent très exposées. Il participe notamment à la bataille de Verdun et à la bataille de la Somme.
De cette expérience traumatisante, naissent les récits qui le rendent célèbre : Vie des martyrs (1917) et surtout Civilisation (1918), livre-témoignage sur les ravages de la guerre pour lequel il reçoit le prix Goncourt, le 11 décembre 1918.
La Paix revenue, Georges Duhamel renonce à la chirurgie et se consacre à l'écriture.
Visualiser(6 images)
Duhamel Georges1884-1966Ecrivain/poètephotographiesEngagé volontaire pour le service de santé militaire dès les premiers jours de la guerre, Georges Duhamel avait auparavant bénéficié d'une réforme médicale en raison de sa vue. Il va pendant quatre ans occuper les fonctions de médecin aide-major dans des autochirs, dans des situations souvent très exposées. Il participe notamment à la bataille de Verdun et à la bataille de la Somme.
De cette expérience traumatisante, naissent les récits qui le rendent célèbre : Vie des martyrs (1917) et surtout Civilisation (1918), livre-témoignage sur les ravages de la guerre pour lequel il reçoit le prix Goncourt, le 11 décembre 1918.
La Paix revenue, Georges Duhamel renonce à la chirurgie et se consacre à l'écriture.
Visualiser(3 images)
Alain-Fournier1886-1914Ecrivain/poèteDocuments d'archivesRomancier, journaliste et poète, auteur du livre Le grand Meaulnes, Alain-Fournier est lieutenant de réserve et rejoint le 288e régiment d’infanterie au premier jour de la mobilisation. Il participe ensuite à plusieurs combats meurtriers autour de Verdun où il est porté disparu au « combat de Saint-Rémy, du 21 au 30 septembre » (JMO du 288e RI)
Il est officiellement déclaré mort pour la France en juin 1920 et après de longues et nombreuses recherches, son corps est retrouvé en 1991 dans une fosse commune creusée par l'armée allemande sur le lieu du combat.
Visualiser(10 images)
Genevoix Maurice1890-1980Ecrivain/poèteDocuments d'archivesNé à Decize (Nièvre), le 29 novembre 1890, Maurice Genevoix est promis à une belle carrière universitaire et d’enseignant. Mobilisé en 1914, il doit interrompre ses études pour rejoindre le 106e Régiment d’infanterie, comme sous-lieutenant.
Il participe à la bataille de la Marne et à la marche sur Verdun. Après quatre mois passés aux Éparges, son bataillon est envoyé à la «tranchée de Calonne », route forestière stratégique qui longe les Hauts de Meuse. C’est là que, le 25 avril 1915, il est touché par trois balles au bras et à la poitrine, qui lui sectionnent l’artère humérale. Il est évacué à l’hôpital de Verdun, puis à Vittel, Dijon et Bourges. Pour lui, la guerre est terminée. Après sept mois de soins, il est réformé à 70% d’invalidité.
La paix revenue, il renonce à sa carrière universitaire pour se retirer en Sologne et se consacrer à la littérature.
Visualiser(8 images)
Genevoix Maurice1890-1980Ecrivain/poètephotographiesNé à Decize (Nièvre), le 29 novembre 1890, Maurice Genevoix est promis à une belle carrière universitaire et d’enseignant. Mobilisé en 1914, il doit interrompre ses études pour rejoindre le 106e Régiment d’infanterie, comme sous-lieutenant.
Il participe à la bataille de la Marne et à la marche sur Verdun. Après quatre mois passés aux Éparges, son bataillon est envoyé à la «tranchée de Calonne », route forestière stratégique qui longe les Hauts de Meuse. C’est là que, le 25 avril 1915, il est touché par trois balles au bras et à la poitrine, qui lui sectionnent l’artère humérale. Il est évacué à l’hôpital de Verdun, puis à Vittel, Dijon et Bourges. Pour lui, la guerre est terminée. Après sept mois de soins, il est réformé à 70% d’invalidité.
La paix revenue, il renonce à sa carrière universitaire pour se retirer en Sologne et se consacrer à la littérature.
Visualiser(1 image)
Grimaud Henri1917-1944PiloteDocuments d'archivesHenri Joseph Eugène Grimaud est né le 10 décembre 1917 à Saint-Jean-en-Royans, au pied du Vercors, dans la Drôme. Le 23 avril 1938, il s’engage comme élève pilote et rejoint l’école d’Ambérieu. Il obtient le grade de sergent fin 1938, part se perfectionner à Istres comme pilote de chasse, est affecté en août 1939 à la 3e escadrille (la SPA 73 « Cigogne japonaise ») du Groupe de chasse II/7 sur la base aérienne de Dijon quand la guerre est déclarée le 3 septembre 1939.
Avec son escadrille, il rejoint le terrain d’aviation de Luxeuil et participe à la bataille de France. Le 1er juin, il abat deux avions allemands Heinkel He 111 et, le lendemain, en détruit un troisième. Le 15 juin, il réalise un second doublé en descendant un Dornier Do 215 et un Do 17. Puis le groupe de chasse se replie en Afrique du Nord.
En 1942, il est admis à l’école des officiers navigants et mécaniciens avec le grade d’aspirant, et rentre donc en Métropole pour suivre la formation à Salon-de-Provence. Il est nommé au grade de sous-lieutenant le 25 novembre 1942 puis placé en congé d’armistice à compter du 1er mars 1943. Puis il est affecté à la compagnie du Guet n°33/71 le 18 novembre à Privas dans l’Ardèche. À l’issue d’une permission se terminant le 29 juin 1944, il ne rejoint pas son unité et est déclaré déserteur le 15 juillet. En activité comme agent de renseignement (P2) auprès du réseau de résistance « Andromède- Zéphir » depuis le 1er septembre 1943, il a décidé de rejoindre le maquis du Vercors. Il prend part au combat de Vassieux-en-Vercors au cours duquel il trouve la mort le 21 juillet 1944.
As crédité de 5 victoires aériennes confirmées et 4 probables, Henri Grimaud sera promu lieutenant à titre posthume en juillet 1947.
Visualiser(38 images)
Grimaud Henri1917-1944PilotephotographiesHenri Joseph Eugène Grimaud est né le 10 décembre 1917 à Saint-Jean-en-Royans, au pied du Vercors, dans la Drôme. Le 23 avril 1938, il s’engage comme élève pilote et rejoint l’école d’Ambérieu. Il obtient le grade de sergent fin 1938, part se perfectionner à Istres comme pilote de chasse, est affecté en août 1939 à la 3e escadrille (la SPA 73 « Cigogne japonaise ») du Groupe de chasse II/7 sur la base aérienne de Dijon quand la guerre est déclarée le 3 septembre 1939.
Avec son escadrille, il rejoint le terrain d’aviation de Luxeuil et participe à la bataille de France. Le 1er juin, il abat deux avions allemands Heinkel He 111 et, le lendemain, en détruit un troisième. Le 15 juin, il réalise un second doublé en descendant un Dornier Do 215 et un Do 17. Puis le groupe de chasse se replie en Afrique du Nord.
En 1942, il est admis à l’école des officiers navigants et mécaniciens avec le grade d’aspirant, et rentre donc en Métropole pour suivre la formation à Salon-de-Provence. Il est nommé au grade de sous-lieutenant le 25 novembre 1942 puis placé en congé d’armistice à compter du 1er mars 1943. Puis il est affecté à la compagnie du Guet n°33/71 le 18 novembre à Privas dans l’Ardèche. À l’issue d’une permission se terminant le 29 juin 1944, il ne rejoint pas son unité et est déclaré déserteur le 15 juillet. En activité comme agent de renseignement (P2) auprès du réseau de résistance « Andromède- Zéphir » depuis le 1er septembre 1943, il a décidé de rejoindre le maquis du Vercors. Il prend part au combat de Vassieux-en-Vercors au cours duquel il trouve la mort le 21 juillet 1944.
As crédité de 5 victoires aériennes confirmées et 4 probables, Henri Grimaud sera promu lieutenant à titre posthume en juillet 1947.
Visualiser(2 images)
Hilsz Marie-Antoinette (dite Maryse)1903-1946PiloteDocuments d'archivesEn 1922 Maryse Hilsz devient parachutiste. Elle passe son brevet de pilote en 1929 et enchaîne les meetings, rallyes et raids où elle décroche plusieurs records.
Pendant la 2e guerre mondiale elle milite dans la résistance puis s’engage dans l’armée de l’Air en 1944.
Elle décède en service aérien commandé le 30 janvier 1946 lors d’une liaison Villacoublay-Marignane.
Visualiser(10 images)
Hilsz Marie-Antoinette (dite Maryse)1903-1946PilotephotographiesEn 1922 Maryse Hilsz devient parachutiste. Elle passe son brevet de pilote en 1929 et enchaîne les meetings, rallyes et raids où elle décroche plusieurs records.
Pendant la 2e guerre mondiale elle milite dans la résistance puis s’engage dans l’armée de l’Air en 1944.
Elle décède en service aérien commandé le 30 janvier 1946 lors d’une liaison Villacoublay-Marignane.
Visualiser(3 images)
Imbrecq Anne-Marie1911-2005PiloteDocuments d'archivesFondatrice du service médico-social de l’Air en AFN, Anne-Marie Imbrecq est titulaire du brevet de pilote et de parachutisme. Elle s’engage dans le Corps franc d’Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la Libération elle est appelée à faire partie du premier corps de pilotes militaires féminins et obtient son brevet en 1946.Visualiser(13 images)
Imbrecq Anne-Marie1911-2005PilotephotographiesFondatrice du service médico-social de l’Air en AFN, Anne-Marie Imbrecq est titulaire du brevet de pilote et de parachutisme. Elle s’engage dans le Corps franc d’Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la Libération elle est appelée à faire partie du premier corps de pilotes militaires féminins et obtient son brevet en 1946.Visualiser(1 image)
Melk Suzanne1908-1951PiloteDocuments d'archivesNée à Vesoul en 1908, pianiste virtuose, championne de vol à voile et brevetée pilote, Suzanne Melk entre dans la résistance au Réseau « Béarn » après son engagement dans la France Libre en juillet 1943 . Elle est décorée de la Croix de Guerre et de la Médaille de la Résistance et devient pilote militaire après-guerre. Elle est détentrice de plusieurs records notamment en vol à voile.XXXPartie aux États-unis en 1947, elle tombe gravement malade et décède 4 février 1951, à Durham en Caroline du Nord.Visualiser(14 images)
Melk Suzanne1908-1951PilotephotographiesNée à Vesoul en 1908, pianiste virtuose, championne de vol à voile et brevetée pilote, Suzanne Melk entre dans la résistance au Réseau « Béarn » après son engagement dans la France Libre en juillet 1943 . Elle est décorée de la Croix de Guerre et de la Médaille de la Résistance et devient pilote militaire après-guerre. Elle est détentrice de plusieurs records notamment en vol à voile.
Partie aux États-unis en 1947, elle tombe gravement malade et décède 4 février 1951, à Durham en Caroline du Nord.
Visualiser(1 image)
Péguy Charles1873-1914Ecrivain/poèteDocuments d'archivesÉcrivain, poète et essayiste français, Charles Péguy a 41 ans lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale. Engagé dès le 3 août 1914, il fait une courte campagne en Lorraine puis son régiment, le 276e régiment d'infanterie, se replie sur l'Aisne où l'armée française fait retraite.
Le 5 septembre 1914, à la veille de la première bataille de la Marne, entre Penchard et Villeroy, près de Meaux, son unité est envoyée en soutien d’une attaque de tirailleurs marocains. Cette attaque, sans préparation d’artillerie et sur terrain découvert, se transforme en une mission de sacrifice. Le lieutenant Péguy est tué d'une balle en plein front. Son corps est inhumé parmi ceux de ses compagnons d'armes dans le cimetière national de Chauconin-Neufmontiers.
Visualiser(22 images)
Péguy Charles1873-1914Ecrivain/poètephotographiesÉcrivain, poète et essayiste français, Charles Péguy a 41 ans lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale. Engagé dès le 3 août 1914, il fait une courte campagne en Lorraine puis son régiment, le 276e régiment d'infanterie, se replie sur l'Aisne où l'armée française fait retraite.
Le 5 septembre 1914, à la veille de la première bataille de la Marne, entre Penchard et Villeroy, près de Meaux, son unité est envoyée en soutien d’une attaque de tirailleurs marocains. Cette attaque, sans préparation d’artillerie et sur terrain découvert, se transforme en une mission de sacrifice. Le lieutenant Péguy est tué d'une balle en plein front. Son corps est inhumé parmi ceux de ses compagnons d'armes dans le cimetière national de Chauconin-Neufmontiers.
Visualiser(1 image)
Gary Romain1914-1980Ecrivain/poèteDocuments d'archivesAviateur, résistant, diplomate, romancier et réalisateur, Roman Kacew naît le 8 mai (selon le calendrier Julien soit le 21 mai du calendrier Grégorien) 1914 à Wilno en Pologne. À 14 ans, accompagné de sa mère il arrive en France muni d’un visa touristique. Naturalisé français le 5 juillet 1935, il est appelé au service militaire en 1938 dans l’aviation à Salon-de-Provence. En juin 1940 il rejoint De Gaulle en Angleterre, s’engage dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL) et intègre le groupe de bombardement Lorraine. Il prend alors le nom de Romain Gary. Il est fait Compagnon de la Libération. Après-guerre, il entame une carrière de diplomate et représente notamment la France aux Nations-Unies. Il écrit de nombreux romans et obtient le prix Goncourt à deux reprises en 1956 et 1975.
Il se suicide le 2 décembre 1980
Visualiser(14 images)
Baker Joséphine (née Freda Josephine McDonald)1906-1975Artiste/résistanteDocuments d'archivesJoséphine Baker est une chanteuse, danseuse, actrice, meneuse de revue et résistante française d’origine américaine. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle joue un rôle important dans la Résistance française. Elle utilise ensuite sa grande popularité au service de la lutte contre le racisme et pour l’émancipation des Noirs, en particulier en soutenant le mouvement américain des droits civiques.
Le 30 novembre 2021, sur décision du président de la République, Joséphine Baker entre au Panthéon, devenant ainsi la sixième femme et la première femme noire à rejoindre le « temple » républicain.
Visualiser(132 images)
Baker Joséphine (née Freda Josephine McDonald)1906-1975Artiste/résistantephotographiesJoséphine Baker est une chanteuse, danseuse, actrice, meneuse de revue et résistante française d’origine américaine. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle joue un rôle important dans la Résistance française. Elle utilise ensuite sa grande popularité au service de la lutte contre le racisme et pour l’émancipation des Noirs, en particulier en soutenant le mouvement américain des droits civiques.
Le 30 novembre 2021, sur décision du président de la République, Joséphine Baker entre au Panthéon, devenant ainsi la sixième femme et la première femme noire à rejoindre le « temple » républicain.
Visualiser(16 images)
Guynemer Georges1894 - 1917PiloteDocuments d'archivesGeorges Guynemer, né le 24 décembre 1894 à Paris 16e et mort au combat le 11 septembre 1917 à Poelkapelle (Belgique), est l'un des pilotes de guerre français les plus célèbres de la Première Guerre mondiale.
Il remporte 53 victoires homologuées, plus une trentaine de victoires probables en combat aérien. Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport, de SPAD (VII, SPAD XII canon, SPAD XIII). Fait notable, il survit huit fois après que son avion ait été abattu. Il est affecté durant sa carrière à l'escadrille Numéro 3 (MS 3, N 3 puis SPA 3), dite « Escadrille des Cigognes », unité de chasse la plus victorieuse des ailes françaises entre 1914 et 1918.
Sa devise est « Faire face » et ses avions sont habituellement peints en jaune et baptisés « Vieux Charles ». Sa postérité vaut à Georges Guynemer de devenir le héros emblématique de l'École de l'Air, à Salon-de-Provence.
Visualiser(30 images)
Guynemer Georges1894 - 1917PilotephotographiesGeorges Guynemer, né le 24 décembre 1894 à Paris 16e et mort au combat le 11 septembre 1917 à Poelkapelle (Belgique), est l'un des pilotes de guerre français les plus célèbres de la Première Guerre mondiale.
Il remporte 53 victoires homologuées, plus une trentaine de victoires probables en combat aérien. Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport, de SPAD (VII, SPAD XII canon, SPAD XIII). Fait notable, il survit huit fois après que son avion ait été abattu. Il est affecté durant sa carrière à l'escadrille Numéro 3 (MS 3, N 3 puis SPA 3), dite « Escadrille des Cigognes », unité de chasse la plus victorieuse des ailes françaises entre 1914 et 1918.
Sa devise est « Faire face » et ses avions sont habituellement peints en jaune et baptisés « Vieux Charles ». Sa postérité vaut à Georges Guynemer de devenir le héros emblématique de l'École de l'Air, à Salon-de-Provence.
Visualiser(6 images)
Anthonioz de Gaulle Geneviève1920-2002RésistanteDocuments d'archivesNée le 25 octobre 1920 à Paris et décédée le 15 février 2002 à Paris 6e, elle est une résistante française puis militante des droits de l'homme et de la lutte contre la pauvreté.
Elle est la nièce du président de la République Charles de Gaulle. Sous l'Occupation, alors qu'elle est étudiante à l'université de Rennes, elle mène des actions de résistance au sein du Groupe du musée de l'Homme puis du réseau Défense de la France. Arrêtée par la Gestapo, elle est déportée en février 1944 au camp de Ravensbrück où elle sera détenue jusqu'en février 1945. Traitée comme monnaie d'échange par Heinrich Himmler, elle est tenue au secret dans un camp au sud de l'Allemagne jusqu'en avril 1945, avant d'être transférée à Genève où son père travaillait comme consul. Après la guerre, elle s'engage notamment dans la lutte contre la pauvreté et assure la présidence de l'antenne française d'ATD Quart Monde de 1964 à 1998.
Treize ans après sa mort, elle fait son entrée au Panthéon, avec un cercueil ne contenant cependant que de la terre issue de son cimetière, sa famille ayant refusé qu'elle soit séparée de son mari.
Visualiser(36 images)
Germain Hubert1920-2021Résistant/politiqueDocuments d'archivesHubert Germain, né le 6 août 1920 à Paris et mort le 12 octobre 2021 dans la même ville, est un résistant et homme politique français.
Engagé dans les Forces françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale, il mène ensuite une carrière politique, au cours de laquelle il est maire de Saint-Chéron dans l'Essonne et député de la quatorzième circonscription de Paris (13e arrondissement). Il est, entre 1972 et 1974, ministre dans les gouvernements Messmer.
Nommé compagnon de la Libération en 1944, il fut l'ultime membre de cet ordre jusqu'à son décès le 12 octobre 2021 (à 101 ans).
Visualiser(36 images)
Jannin Suzanne1912-1982RésistanteDocuments d'archivesSuzanne Jannin s’engage dans les FFI en 1943, puis sert dans les forces armées en Extrême-Orient en qualité de dentiste de 1951 à 1953. Elle souscrit ensuite un engagement dans le personnel militaire féminin de l’armée de l’Air en qualité de praticienne dentiste. Elle prend part aux opérations d’Indochine en qualité de pilote dans une unité combattante.Visualiser(30 images)
Leune Jean1889-1944Pilote/résistantDocuments d'archivesEngagé volontaire par devancement d’appel, Jean Leune, né en 1889, intègre le 33e Régiment d’Infanterie à Versailles. Placé auprès du Ministère de la Marine en 1912, lors de la déclaration de guerre en 1914 il est détaché comme observateur à l’escadrille MF 385 de l’Armée d’Orient. Il obtient son brevet de pilote en 1918 et revient en France. Rappelé lors de la mobilisation générale en 1939, il intègre le 2e bureau.
Démobilisé en 1940 il s’engage dans les Forces françaises combattantes et rejoint le réseau « Mithridate ». Arrêté le 17 juillet 1942, condamné par le Gouvernement de Vichy pour menées antinationales, il est livré aux Allemands le 10 mars 1944. Il décède le 13 mai durant le voyage du convoi qui le mène à Buchenwald. Mort pour la France son nom figure au Panthéon (écrivain mort pour la France 1939-1945).
Visualiser(26 images)
Minier Gustave1888-1976PiloteDocuments d'archivesPilote du Bréguet de l’armistice, Gustave Minier naît le 25 août 1888 à Bort en Corrèze. Après son service militaire effectué au 10e bataillon d’artillerie à pied, il s’initie à l’aviation et obtient le brevet de pilote civil le 6 décembre 1912. Au premier jour de la mobilisation il rejoint le 10e régiment d’artillerie à pied, puis très rapidement il est détaché à l’aviation à Dijon où il obtient son brevet d’aviation militaire (n°624) le 10 octobre 1914. Après s’être distingué à maintes reprises et avoir participé à la campagne de Roumanie, il est affecté à l’escadrille BR 35 le 30 juin 1918. C’est là qu’il sera appelé le 11 novembre pour transporter le capitaine allemand von Geyer, porteur des conditions de l’armistice, de Tergnier à Spa.Visualiser(11 images)
Pomier René1916-1940PiloteDocuments d'archivesNé le 1er novembre 1916 et tué au combat le 5 juin 1940, il fut pilote de chasse et as aérien français lors de la Seconde Guerre mondiale. Il était sorti de la promotion de l'École de l'Air de 1937-39.Visualiser(5 images)
Anthonioz de Gaulle Geneviève1920-2002RésistantephotographiesNée le 25 octobre 1920 à Paris et décédée le 15 février 2002 à Paris 6e, elle est une résistante française puis militante des droits de l'homme et de la lutte contre la pauvreté.
Elle est la nièce du président de la République Charles de Gaulle. Sous l'Occupation, alors qu'elle est étudiante à l'université de Rennes, elle mène des actions de résistance au sein du Groupe du musée de l'Homme puis du réseau Défense de la France. Arrêtée par la Gestapo, elle est déportée en février 1944 au camp de Ravensbrück où elle sera détenue jusqu'en février 1945. Traitée comme monnaie d'échange par Heinrich Himmler, elle est tenue au secret dans un camp au sud de l'Allemagne jusqu'en avril 1945, avant d'être transférée à Genève où son père travaillait comme consul. Après la guerre, elle s'engage notamment dans la lutte contre la pauvreté et assure la présidence de l'antenne française d'ATD Quart Monde de 1964 à 1998.
Treize ans après sa mort, elle fait son entrée au Panthéon, avec un cercueil ne contenant cependant que de la terre issue de son cimetière, sa famille ayant refusé qu'elle soit séparée de son mari.
Visualiser(1 image)
Germain Hubert1920-2021Résistant/politiquephotographiesHubert Germain, né le 6 août 1920 à Paris et mort le 12 octobre 2021 dans la même ville, est un résistant et homme politique français.
Engagé dans les Forces françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale, il mène ensuite une carrière politique, au cours de laquelle il est maire de Saint-Chéron dans l'Essonne et député de la quatorzième circonscription de Paris (13e arrondissement). Il est, entre 1972 et 1974, ministre dans les gouvernements Messmer.
Nommé compagnon de la Libération en 1944, il fut l'ultime membre de cet ordre jusqu'à son décès le 12 octobre 2021 (à 101 ans).
Visualiser(1 image)
Leune Jean1889-1944Pilote/résistantphotographiesEngagé volontaire par devancement d’appel, Jean Leune, né en 1889, intègre le 33e Régiment d’Infanterie à Versailles. Placé auprès du Ministère de la Marine en 1912, lors de la déclaration de guerre en 1914 il est détaché comme observateur à l’escadrille MF 385 de l’Armée d’Orient. Il obtient son brevet de pilote en 1918 et revient en France. Rappelé lors de la mobilisation générale en 1939, il intègre le 2e bureau.
Démobilisé en 1940 il s’engage dans les Forces françaises combattantes et rejoint le réseau « Mithridate ». Arrêté le 17 juillet 1942, condamné par le Gouvernement de Vichy pour menées antinationales, il est livré aux Allemands le 10 mars 1944. Il décède le 13 mai durant le voyage du convoi qui le mène à Buchenwald. Mort pour la France son nom figure au Panthéon (écrivain mort pour la France 1939-1945).
Visualiser(1 image)
de Castelnau Noël Édouard1851-1944OfficierDocuments d'archivesNoël Édouard Marie Joseph, vicomte de Curières de Castelnau, est un général français, commandant d'armée, il devient chef d'état-major du général Joffre après sa victoire en Champagne en 1915. En 1916, Il organise la défense de Verdun avant le déclenchement de la bataille et nomme le général Pétain à la tête de ce secteur le 25 février.
Son rôle a été essentiel pendant le conflit et il demeure le seul officier général de la Grande Guerre qui exerce aussi longtemps un commandement de premier rang au front.
Trois des fils de Castelnau, Gérald, Xavier (1893-1914) et Hugues, sont tués pendant la Grande Guerre.
Aucune image
de Castelnau Noël Édouard1851-1944OfficierphotographiesNoël Édouard Marie Joseph, vicomte de Curières de Castelnau, est un général français, commandant d'armée, il devient chef d'état-major du général Joffre après sa victoire en Champagne en 1915. En 1916, Il organise la défense de Verdun avant le déclenchement de la bataille et nomme le général Pétain à la tête de ce secteur le 25 février.
Son rôle a été essentiel pendant le conflit et il demeure le seul officier général de la Grande Guerre qui exerce aussi longtemps un commandement de premier rang au front.
Trois des fils de Castelnau, Gérald, Xavier (1893-1914) et Hugues, sont tués pendant la Grande Guerre.
Aucune image
de Saint-Exupery Antoine1900-1944Pilote/écrivainDocuments d'archivesAviateur, reporter, écrivain né en 1900, Antoine de Saint-Exupéry obtient son brevet de pilote en 1921 lors de son service militaire. Élève-officier de réserve, il est victime le 1er mai 1923 d’un accident d’avion avant d’être démobilisé.
Engagé par la Compagnie Latécoère (future Aéropostale) d’abord comme responsable d’escale à Cap Juby (Maroc), il participe ensuite au développement du réseau aérien français en Amérique du Sud.
En 1939 il rejoint l’armée de l’Air et intègre le Groupe de reconnaissance 2/33. Après l’armistice de 1940, il rejoint les États-Unis. Il réintègre l’armée de l’Air en 1943 de nouveau au GR 2/33. Le 31 juillet 1944 le commandant « Saint-Ex » décolle de Corse pour une mission de reconnaissance mais ne rentre pas, il est alors porté disparu.
Visualiser(30 images)
de Saint-Exupery Antoine1900-1944Pilote/écrivainphotographiesAviateur, reporter, écrivain né en 1900, Antoine de Saint-Exupéry obtient son brevet de pilote en 1921 lors de son service militaire. Élève-officier de réserve, il est victime le 1er mai 1923 d’un accident d’avion avant d’être démobilisé.
Engagé par la Compagnie Latécoère (future Aéropostale) d’abord comme responsable d’escale à Cap Juby (Maroc), il participe ensuite au développement du réseau aérien français en Amérique du Sud.
En 1939 il rejoint l’armée de l’Air et intègre le Groupe de reconnaissance 2/33. Après l’armistice de 1940, il rejoint les États-Unis. Il réintègre l’armée de l’Air en 1943 de nouveau au GR 2/33. Le 31 juillet 1944 le commandant « Saint-Ex » décolle de Corse pour une mission de reconnaissance mais ne rentre pas, il est alors porté disparu.
Visualiser(1 image)
Jannin Suzanne1912-1982RésistantephotographiesSuzanne Jannin s’engage dans les FFI en 1943, puis sert dans les forces armées en Extrême-Orient en qualité de dentiste de 1951 à 1953. Elle souscrit ensuite un engagement dans le personnel militaire féminin de l’armée de l’Air en qualité de praticienne dentiste. Elle prend part aux opérations d’Indochine en qualité de pilote dans une unité combattante.Visualiser(2 images)
Michel Louise1830-1905RévolutionnaireDocuments d'archivesLouise Michel, née en 1830 en Haute-Marne, obtient le brevet de capacité permettant d’exercer la profession d’institutrice en 1852. Elle refuse de prêter serment à l’Empereur, serment obligatoire pour enseigner à l’époque, et officie dans diverses écoles libres de Haute-Marne avant de rejoindre Paris en 1856.
Impliquée dans les prémisses de la Commune de Paris dès janvier 1871, elle est membre, entre autres, du Comité de vigilance de Montmartre et du club de la Révolution. Elle prend part, les 17 et 18 mars, aux événements liés à la décision du gouvernement de Thiers de reprendre les canons de la garde nationale, installés sur la butte Montmartre.
Après la semaine sanglante, elle est arrêtée le 28 mai, et jugée, comme de nombreux communards, par le conseil de guerre. Le Service historique de la Défense dispose, au sein des archives de la justice militaire, de son dossier de jugement (GR 8 J 221, dossier 135).
Elle est accusée « d’avoir, dans un mouvement insurrectionnel, porté des armes apparentes, étant revêtue d’un uniforme et d’avoir fait usage de ces armes ».
Condamnée à la déportation dans une enceinte fortifiée, elle embarquera à Saint-Martin-de-Ré le 9 aout 1873 pour la presque-île de Ducos, où elle arrivera en décembre. Elle restera sept ans en Nouvelle-Calédonie, apprenant la langue canaque, créant un journal et instruisant les populations locales.
Sa peine est commuée en déportation simple le 8 mai 1879, puis à 10 ans de bannissement à partir de juin 1879, avant une remise de peine définitive en décembre 1879. Elle rentre en France en novembre 1880, où elle reprend son activité militante, donnant inlassablement conférences et meetings, et se déclarera anarchiste jusqu’à sa mort à Marseille en 1905.
Visualiser(68 images)
Michel Louise1830-1905RévolutionnairephotographiesLouise Michel, née en 1830 en Haute-Marne, obtient le brevet de capacité permettant d’exercer la profession d’institutrice en 1852. Elle refuse de prêter serment à l’Empereur, serment obligatoire pour enseigner à l’époque, et officie dans diverses écoles libres de Haute-Marne avant de rejoindre Paris en 1856.
Impliquée dans les prémisses de la Commune de Paris dès janvier 1871, elle est membre, entre autres, du Comité de vigilance de Montmartre et du club de la Révolution. Elle prend part, les 17 et 18 mars, aux événements liés à la décision du gouvernement de Thiers de reprendre les canons de la garde nationale, installés sur la butte Montmartre.
Après la semaine sanglante, elle est arrêtée le 28 mai, et jugée, comme de nombreux communards, par le conseil de guerre. Le Service historique de la Défense dispose, au sein des archives de la justice militaire, de son dossier de jugement (GR 8 J 221, dossier 135).
Elle est accusée « d’avoir, dans un mouvement insurrectionnel, porté des armes apparentes, étant revêtue d’un uniforme et d’avoir fait usage de ces armes ».
Condamnée à la déportation dans une enceinte fortifiée, elle embarquera à Saint-Martin-de-Ré le 9 aout 1873 pour la presque-île de Ducos, où elle arrivera en décembre. Elle restera sept ans en Nouvelle-Calédonie, apprenant la langue canaque, créant un journal et instruisant les populations locales.
Sa peine est commuée en déportation simple le 8 mai 1879, puis à 10 ans de bannissement à partir de juin 1879, avant une remise de peine définitive en décembre 1879. Elle rentre en France en novembre 1880, où elle reprend son activité militante, donnant inlassablement conférences et meetings, et se déclarera anarchiste jusqu’à sa mort à Marseille en 1905.
Visualiser(1 image)
Roman Claire, née Chambaud1906-1941PiloteDocuments d'archivesClaire Roman obtient son brevet de pilote en 1932, participe à des exhibitions aériennes et décroche plusieurs records.
Dès la déclaration de guerre en 1939, elle se met à la disposition des autorités militaires pour convoyer des avions de tourismes réquisitionnés. Capturée par les allemands elle s’évade.
Elle est victime d’un accident aérien le 4 août 1941.
Visualiser(16 images)
Roman Claire, née Chambaud1906-1941PilotephotographiesClaire Roman obtient son brevet de pilote en 1932, participe à des exhibitions aériennes et décroche plusieurs records.
Dès la déclaration de guerre en 1939, elle se met à la disposition des autorités militaires pour convoyer des avions de tourismes réquisitionnés. Capturée par les allemands elle s’évade.
Elle est victime d’un accident aérien le 4 août 1941.
Visualiser(1 image)
Pomier René1916-1940PilotephotographiesNé le 1er novembre 1916 et tué au combat le 5 juin 1940, il fut pilote de chasse et as aérien français lors de la Seconde Guerre mondiale. Il était sorti de la promotion de l'École de l'Air de 1937-39.Visualiser(1 image)
Alain-Fournier1886-1914Ecrivain/poètephotographiesRomancier, journaliste et poète, auteur du livre Le grand Meaulnes, Alain-Fournier est lieutenant de réserve et rejoint le 288e régiment d’infanterie au premier jour de la mobilisation. Il participe ensuite à plusieurs combats meurtriers autour de Verdun où il est porté disparu au « combat de Saint-Rémy, du 21 au 30 septembre » (JMO du 288e RI)
Il est officiellement déclaré mort pour la France en juin 1920 et après de longues et nombreuses recherches, son corps est retrouvé en 1991 dans une fosse commune creusée par l'armée allemande sur le lieu du combat.
Visualiser(1 image)
Minier Gustave1888-1976PilotePhotographiesPilote du Bréguet de l’armistice, Gustave Minier naît le 25 août 1888 à Bort en Corrèze. Après son service militaire effectué au 10e bataillon d’artillerie à pied, il s’initie à l’aviation et obtient le brevet de pilote civil le 6 décembre 1912. Au premier jour de la mobilisation il rejoint le 10e régiment d’artillerie à pied, puis très rapidement il est détaché à l’aviation à Dijon où il obtient son brevet d’aviation militaire (n°624) le 10 octobre 1914. Après s’être distingué à maintes reprises et avoir participé à la campagne de Roumanie, il est affecté à l’escadrille BR 35 le 30 juin 1918. C’est là qu’il sera appelé le 11 novembre pour transporter le capitaine allemand von Geyer, porteur des conditions de l’armistice, de Tergnier à Spa.Visualiser(1 image)
Résultats 1 à 51 sur 51 :   
Afficher/masquer